un mardi bien particulier

    Nous sommes mardi et la pire journée de la semaine commence pour moi. Il est 9h00 et j’ai déjà une boule au ventre rien qu’en pensant à ce qui a été dit hier soir et ce qui m’attend aujourd’hui.

 En effet, hier soir Madame Lady et Mademoiselle Lylye m’ont annoncées que finalement Madame Lady serait présente à ma fessée alors que ce ne devait pas être le cas. Deux sentiments s’opposent en moi. Le premier est la peur car il y aura mes deux fesseuses de présentes et je vais vraiment avoir très honte. Mais d’un autre côté, Madame Lady passe beaucoup de temps pour ma reprise en main. Il est donc normal qu’elle assiste et participe peut être  à ma grosse fessée. Elle pourra intervenir de vive voix et constater par elle-même la couleur de mes fesses ce qui pour une punisseuse constitue une récompense à son travail.

       La matinée se passe, le temps défile trop lentement à mon goût, j’ai des sentiments bizarres. Les envies se mélangent dans mon esprit entre la honte d’y aller et l’empressement pour qu’enfin cette épreuve appartienne au passée. Mais c’est Madame qui décide quand et comment et moi je suis là, personne passive qui attend son bourreau sans avoir aucun pouvoir, ha si : celui du garnement.

     13h07 : un mail de Mademoiselle Lylye qui m’envoie mon interrogation écrite et ma dictée à faire immédiatement. Je descends à l’accueil de l’hôtel  pour être plus à l’aise. La gérante s’y trouve et me demande ce que je fais là. Je lui explique et elle me répond qu’elle va me surveiller pour que je ne triche pas. Je lui demande pourquoi elle fait cela ? Sa réponse fuse avec un grand sourire : pour que tu sois bien puni si tu as moins de 15. Si tu triche ce ne sera pas le cas.

       Sous son regard sévère, je fais mes exercices puis ma dictée et j’envoie le tout à Mademoiselle Lylye

     Retour sur Skype et Madame Lady m’annonce qu’elle va manger.

      Les minutes passent, à croire que Madame Lady pousse le vice à me torturer avec cette attente interminable

     La délivrance enfin, presser d’y aller mais non d’avoir mes instruments

[14:29:06] ..............................: bon aller Tu vas acheter les instruments

[14:31:48] ...............................: sms quand tu y arrive

      Je pars avec la boule au ventre sachant que Madame Lady manie la honte de belle manière mais avec chipinette, elle est à bonne école. Pas plus de 15 min me sont nécessaire pour arriver au sexe shop.

     Je me gare et envoi de suite un sms à Madame Lady. 2 minutes après la réponse : entre

     J’entre dans un magasin sympathique aux couleurs chatoyantes et me dirige vers le comptoir ou un homme s’y trouve. Je m’approche et commence à lui demander s’il a les objets dont j’ai besoin quand le téléphone retentit. Instantanément je deviens rouge comme une pivoine alors que le vendeur décroche et s’éloigne de quelques mètres.

     Je ne perçois que des bribes de conversations, mais son regard sur moi me fait craindre le pire. ELLE A OSEE LE FAIRE : 

                                      

     Oui bonjours, ca se pourrait, oui effectivement ......., oui nous avons cela, c’est bien de s’en occuper de cette façon..... , oui c’est une méthode efficace...., mais oui je pourrais les essayer si besoin, non bien sur cela ne me dérange pas, oui ne vous inquiétez pas il est entre de bonnes mains.

      Le vendeur raccroche et se dirige vers moi avec le sourire : c’était votre fesseuse au téléphone, elle voulait s’assurer que vous étiez là.

      Je le regarde d’un air concis mais aucun mot ne sort de ma bouche, je n’ai même plus de salive pour répondre tellement j’ai honte d’être là.

      Ne vous inquiétez pas, suivez-moi, elle m’a dit que vous aviez une liste d’instruments à acheter. De plus elle a ajouté que je devais les essayer si par hasard vous n’étiez pas sage. Je le rassure en disant que ce ne sera pas nécessaire.

      Nous arrivons devant le rayon et d’autorité,  le vendeur me demande ma liste. Je lui dis que ma fesseuse a besoin d’un martinet qui claque bien car j’ai acheté un martinet dans un supermarché mais celui-ci ne convient pas. Il me montre en riant un martinet autrement plus redoutable et me propose de le prendre en photo et de l’envoyer de suite à ma fesseuse. Je m’exécute.

La réponse de Madame Lady ne se fait pas attendre : très bien mais n’oublie pas le paddle en bois

    Je confirme au vendeur que Madame Lady trouve le martinet très bien et je lui demande si il a des paddles en bois. Il me confirme que oui et me présente 2 modèles. Nouvelle photo à Madame Lady et cette fois pour qu’elle puisse mieux choisir, c’est le vendeur qui va prendre la photo.

      Nouvel sms à Madame qui répond dans la foulée : surtout pas le petit mais le grand vil !!!

      Madame Lady n’est pas folle et sais qu’un paddle comme le grand n’est pas très large donc claque bien mieux que le rond et je vais l’apprendre très vite à mes dépens. Devant mon étonnement pour un morceau de bois si insignifiant, je demande à plusieurs reprises au vendeur si c’est vraiment efficace. Celui-ci me dit de le suivre dans un salon à côté.

  Baissez votre pantalon et votre slip, je vais faire ce que m’a proposé votre fesseuse : essayer !!

  Heuuuuuu mais 

  Allez on se dépêche jeune homme !

 Oui mais juste un coup alors.

       Je m’exécute sans réellement croire mes gestes, comme si je regardais la scène d’en haut, je vais recevoir un coup de paddle par un homme !!!!! Je me mets en position.

CLAAAACK

    Aie, je me frotte les fesses, crotte mais ça brule sec son truc.

    Alors convaincu ? ajoute-t-il en rigolant.

    Nouvel sms à Madame et la réponse fuse : MDR très bien prend.

   Je m’exécute, vais payer à la caisse et quitte le magasin pour prendre la direction de l’hôtel.

En arrivant, je constate une marque bien rouge qui sera encore présente le lendemain. Décidément cet instrument est efficace

16 h 22 : Mademoiselle Lyle se connecte 

    Apres les bonjours d’usage, je lui annonce que j’ai acheté ses instruments et qu’ils sont efficaces. Elle en est ravie et profite de ce moment pour me donner la note de mon interrogation : 

17.5/20

     

         Elle m’annonce donc que je ne serais pas puni et me félicite pour mes efforts et mes progrès. Nous discutons ensuite de chose et d’autre et cette journée terrible se termine pour moi sur un  sentiment mitigé.

           J’ai réussi mon devoir donc la reprise en main est efficace et le travail de mes punisseuses commence à porter ses fruits. Le point noir reste l’arrivée des instruments qui sont très efficaces. Mademoiselle et peut être Madame dispose maintenant de tout ce qu’il faut pour que la fessée soit efficace et surtout marquante dans mon esprit de  chenapan !